Jonathan
Jonathan
L’horloge du temps
S’est arrêtée pour Jonathan.
Que de tristesse, que de chagrin...
Il ne verra plus le matin...
Dans son fauteuil roulant
Il aimait si fort la vie ;
Ce n’était qu’un enfant,
Il avait droit au sursis.
On a pleuré sans pudeur
Son envol vers l’infini
Et, tout au fond de nos cœurs,
Ont coulé des larmes de pluie.
L’horloge du temps
S’est arrêtée pour Jonathan
Quelle que soit notre vie,
Qu’à jamais on ne l’oublie...
© Maryse Le Lay-Jézégabel Fauconier
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